Mes Légendes du rock vol. 9

Avec le vin, la meilleure importation australienne est sans doute AC/DC. Fondée par les frères et guitaristes Malcom et Angus Young, ce groupe a sû amasser une galaxie de fans grace à leur rock pur et simple mais droit dans les veines. La rumeur court qu'à la mort de leur premier chanteur fétiche, Bon Scott (étouffé dans ses vomissements alcoolisés), Brian Johnson le remplaça que quelques jours plus tard en 1979. Peu de gens le savent mais le cerveau duquel la plupart des riffs classiques d'AC/DC sont sorties fut celui de Malcom Young, après tout c'était lui le guitariste rythmique.

Un spectacle d'AC/DC reste quand même dans nos mémoires. Je ne les ai vu qu'une fois (tournée 87 ou 88 d'un album moyen : Blow up your video), mais je sais que les éléments scéniques qui font leur réputation y était, cloche retentissante (Hells bells), canons explosifs (For those about to rock) et ensemble d'écolier (Angus Young). Rarement un guitariste est devenu emblême d'un groupe tel Angus pou AC/DC.

Mes recommandations : mon album préféré reste le fameux point de départ de Brian Johnson, Back in black. Suivi de High voltage, For those about to rock, Let there be rock et The Razor's edge. Ma chanson préférée est Hells bells.

Section pub : dire qu'aux premiers souffles de Cat From Japan, alors qu'il n'y avait que Max et moi, on voulait tourner beaucoup autour d'AC/DC. Nous interprètons aujourd'hui que Dirty deeds done dirt cheap, mais alors quelle version.